The Garden of Error and Decaytells the continuous story
of current world disasters. In addition to the author Twitter users and
stock exchange information influence the story telling. Every time a
disaster related topic is discussed in Twitter it becomes displayed in
the form of an animated pictogram. Users have the opportunity to either
eliminate or multiply the disaster scenes with a shooting devise.
However, it is not the user that has the power to decide what really
happens. Like in real life everything is driven by stock exchange
dynamics, these dictate whether it goes up or down. In that sense this
innovative moving image format is something like a real-time data driven
narrative. This project is not a film, not a game, and not a nonlinear
interactive story.
The work problematizes the relationship between the individual and
global events. Garden of Error and Decay function as an allegory of the
impotence of the citizen when confronted with superordinate facts, which
have reached such a degree of abstraction that they are not
comprehensible or modifiable anymore, although they are real and
determine everybody's life.
Created by Michael Bielicky & Kamilla B. Richter in collaboration with Michael Dinkelaker & Lorenz Schwarz
Le requin du Groenland est le seul de la famille des Squalidae à
fréquenter les eaux glacées de l’Atlantique Nord au-delà du cercle
polaire. C’est le deuxième plus grand requin carnivore, après le requin
blanc, pouvant mesurer plus de sept mètres et peser plus d’une tonne. Appelé skalugsuak par les Inuits,
il porte plusieurs autres noms tels que : laimargue atlantique, requin
de fond, requin des glaces, ou même requin dormeur tant il offre peu de
résistance lors de sa capture. Cette impression de somnolence est
d’ailleurs rappelée par son nom scientifique Somniosus microcephalus.
La chair du requin des glaces n’est comestible qu’après une préparation
fastidieuse. Elle contient un composé neurotoxique, ainsi qu’une forte
teneur en urée, nécessitant lavage et séchage avant consommation. Lors
des pêches, seuls le foie et l’huile sont conservés.
Les chiens qui mangent de la chair crue donnent l’impression d’être
ivres et les Inuits disent d’une personne sous l’emprise de l’alcool
qu’il a la "maladie du requin". Ils utilisent sa peau de la même façon
que le cuir, et ses dents très tranchantes pour en faire des couteaux à
cheveux.
Longtemps pêché dans l’Atlantique Nord et l'Arctique pour le commerce de l’huile extraite de son foie, riche en vitamine A et en squalène,
ce grand prédateur est actuellement considéré comme espèce "quasi
menacée" par l’International Union for Conservation of Nature. Bien que le requin des glaces ne représente plus aujourd’hui un intérêt
commercial important, des mesures de protection ont
néanmoins été prises, limitant sa capture.