En 2007 des chercheurs ont décelé une aptitude à la métacognition chez le rat. La métacognition est la capacité à comprendre et analysé son propre apprentissage.
On a demandé aux rats de classer des sons. On a d'abord entraîné ces rats à distinguer un son court de deux secondes d'avec un son plus long (8 secondes) et a associer ces sons avec des leviers correspondants. Si le rat poussait le bon levier, il recevait une récompense ; s'il poussait le mauvais levier, le rat perdait définitivement sa chance de se régaler. Les rats apprenaient également qu'il pouvaient recevoir la moitié de la récompense convoitée en mettant leur museau dans un réceptacle pour nourriture. Le test de métacognition pouvait débuter. On fit jouer les sons mais les choses devinrent plus difficiles pour le rat. Les sons devinrent plus courts ou plus longs et finissaient par se ressembler. Il s'ensuivit qu'au bout d'un moment, les rats étaient deux fois plus nombreux à « jeter l'éponge » et se contentaient de mettre leur museau dans le trou afin de ne recevoir que la moitié de la récompense. Plus le test était difficile et plus les rats étaient nombreux à ne se contenter que de la moitié de la récompense sans demander leur reste !
Afin de confirmer le fait que les rats évitaient le test car ils avaient conscience qu'ils risquaient probablement de se tromper, l'expérience fut répété mais sans le trou pour recevoir la demi récompense. Les rats se sont bien sûr beaucoup trompés comme ils devaient en avoir conscience par ailleurs.
On a demandé aux rats de classer des sons. On a d'abord entraîné ces rats à distinguer un son court de deux secondes d'avec un son plus long (8 secondes) et a associer ces sons avec des leviers correspondants. Si le rat poussait le bon levier, il recevait une récompense ; s'il poussait le mauvais levier, le rat perdait définitivement sa chance de se régaler. Les rats apprenaient également qu'il pouvaient recevoir la moitié de la récompense convoitée en mettant leur museau dans un réceptacle pour nourriture. Le test de métacognition pouvait débuter. On fit jouer les sons mais les choses devinrent plus difficiles pour le rat. Les sons devinrent plus courts ou plus longs et finissaient par se ressembler. Il s'ensuivit qu'au bout d'un moment, les rats étaient deux fois plus nombreux à « jeter l'éponge » et se contentaient de mettre leur museau dans le trou afin de ne recevoir que la moitié de la récompense. Plus le test était difficile et plus les rats étaient nombreux à ne se contenter que de la moitié de la récompense sans demander leur reste !
Afin de confirmer le fait que les rats évitaient le test car ils avaient conscience qu'ils risquaient probablement de se tromper, l'expérience fut répété mais sans le trou pour recevoir la demi récompense. Les rats se sont bien sûr beaucoup trompés comme ils devaient en avoir conscience par ailleurs. PS : Cette information ne fait pas plaisir à une certaine chatosaure anonyme qui le faire savoir et réclame sa part de croquette-récompense.
3 commentaires:
Je crois reconnaître AZaZel sous les traits de la chatosaure !!! Pure beauté charistocratik !!!
La pure beauté charistocratik se demande bien comment tu as fait pour la reconnaitre !
avec un cache devant le regard, j'avoue que je ne suis plus certaine de rien..
mes hommages à Madame Chat !
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